Post Human W.A.R. est un jeu vidéo de stratégie tactique et « psychologique », jouable à deux, au tour par tour.
L’histoire se déroule en l’an 3000. Devenue stérile au fil des siècles, l’humanité vient de s’éteindre. Sur terre, des robots ménagers tentent de garder les restes de la civilisation intacts. Une nouvelle espèce intelligente de parasites veut investir les cités humaines. Et tout ce petit monde s’affrontent joyeusement. Bref, c’est la guerre et de nouvelles races veulent prendre possession de ce territoire à l’abandon.
Les développeurs du studio Chahut n’ont donc pas lésiné sur les particularités de l’univers de Post Human W.A.R. Surtout, l’humour est plus que présent pour donner vie à ce monde post-apocalyptique. En effet, aspirateur de combat, singe en short, ou poule-raptor sont le genre d’unité que vous aurez à diriger.
Choisissez votre camp parmi trois factions aux motivations et styles de combat différents :
– Les Wraaks sont des parasites contrôlant le corps d’animaux sauvages, qu’ils font muter. Leur objectif est d’effacer toute trace du passage de l’Homme sur la terre. Leur avantage stratégique est la vitesse.
– Les Anthropistes sont des parasites contrôlant le corps de singes, qui désirent ré-investir l’héritage humain et s’emparer de leurs cités. Leur avantage stratégique est la portée.
– Les R-PATCH sont des robots domestiques reprogrammés pour le combat, afin de défendre les cités humaines des intrusions. Leurs avantages stratégiques sont la force et la défense.
Vous serrez bientôt prêts pour affronter d’autres joueurs sur internet, dans de terribles batailles tactiques. L’objectif étant de vous emparer de l’héritage humain. Pour cela, pour devez détruire le totem ou le chef du camp adverse.
Au début de chaque bataille, vous composez une armée, en sélectionnant ses unités parmi celles de sa faction. Vous devez les choisir dans la limite de points défini à l’avance, identique pour chaque joueur. De plus, vous pouvez mettre peu d’unités très fortes, ou un grand nombre moins puissantes, en espérant que l’union fasse la force. Par ailleurs, chaque unité a des caractéristiques spécifiques de combat, de vitesse, de portée et certaines capacités spéciales. Il ne faut pas oublier que les terrains, construits de façon symétrique, apportent aussi leurs spécificités comme des objets pour se cacher ou des zones à contourner. Enfin, le combat peut commencer. Tour à tour, vous déplacez vos troupes sur des cases hexagonales, pour attaquer, vous protéger ou utiliser une capacité spéciale. Pour gagner, vous avez deux possibilités. Détruire le totem qui est visible sur la carte ou vous occuper du chef, mais sans savoir pour autant quelle unité lui correspond.
Post Human W.A.R. écarte tous les autres facteurs de victoire que la stratégie. Pas de hasard, tous les dégâts sont calculables d’avance. L’argent réel ne compte pas, bien que le jeu soit un free-to-play, le micropaiement sert uniquement à acheter des items (ceux-ci sont cosmétiques et aucun n’apporte d’avantage). La vitesse de clic n’est pas nécessaire, les tours sont chronométrés, mais laissent un temps de réflexion/action suffisant. Ou encore l’ancienneté, un joueur expérimenté commence chaque bataille avec le même nombre de points qu’un joueur débutant, seule son expérience intellectuelle l’avantage.
En conclusion, Post Human W.A.R profite d’un univers agréable, blindé d’humour et de dérision. Sur le terrain, chaque unité possède douze répliques entièrement doublées. Pour autant, le jeu fait preuve de sérieux et ne laisse pas de place au hasard. Pour gagner, seul votre tactique vous avantagera. De plus, quelques subtilités comme le choix du nombre d’unités ou un chef de guerre secret permettront sûrement à ce free-to-play de se démarquer de la concurrence. Réponse début 2016 !
Développeur :Studio Chahut– Éditeur : Studio Chahut – Site internet– Genre : Stratégie, « Totem Defense », Multi – Supports : PC, Mac – Date de sortie : Début 2016
Petite, Aurélie faisait du poney sans selle et décapitait ses barbies. Plus grande, elle réclamait des billes et un robocop. On lui disait "Plus tard, tu feras du dessin, à quoi elle répondait, "Non je veux faire du jeu vidéo". Ses premiers amours, Crash, Abe et Donkey l'ont finalement amené à faire une licence de dessins (LISAA), puis un Master graphisme dans une école de jeu vidéo (l'ENJMIN). C'est à ce moment qu'elle commença à écrire sur le jeu vidéo et la peinture, pendant un an dans IG mag. Une chance de plus qui l'amena au monde de la rédaction. Après quelques conduites de projets pédagogiques sur l'art et le jeu vidéo (pour prouver au monde entier que jouer est fondamental), la petite est toujours petite mais un peu moins. Et c'est avec eurogamer.fr devenu joypad.fr qu'elle continue à parler du jeu vidéo comme une culture, voir une forme artistique.
Et plus que tout je mange du Lion au réveil, en chevauchant mon Poney
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